Une personne ne se définit pas uniquement par sa nationalité d’origine. Celle-ci ne représente qu’une de ses nombreuses facettes tout comme son sexe, son âge ou son parcours professionnel. Les intérêts et les talents tels que le tennis, un faible pour les voitures de sport italiennes ou un œil aiguisé pour les bonnes photos font également partie de l’identité avec laquelle une personne évolue dans le monde et établit des liens sociaux.
Lorsque les gens viennent en Allemagne, la toute première chose qu’on leur demande, dans la plupart des cas, c’est d’où il.elle.s viennent : D’où venez-vous ? Comme les identités nationales sont très souvent associées à des traits de caractère personnels telles que ponctuel/non ponctuel, chaotique/ordonné, introverti/extroverti, ils sont aussi directement attribués à la personne.
La prise de conscience qu’une personne porte en elle de nombreuses identités individuelles qui peuvent diverger, voire aller à l’encontre, des stéréotypes nationaux peut ouvrir de nombreuses portes.
Voici Dalia. Elle aime boire du thé le matin et lire des livres sur les plantes. Elle est issue d’une famille musulmane et étudie l’art.
Dans le travail traditionnel d’intégration, l’accent a été mis jusqu’à présent sur l’origine nationale et le statut politique. D’où venez-vous ? Pourquoi êtes-vous ici ? Au lieu de chercher à rapprocher deux personnes l’une de l’autre, voire à les faire contribuer ensemble à l’amélioration de la société, l’accent est mis sur les différences.
Et si nous changions cela ? Et si, lors d’une première rencontre avec quelqu’un, nous lui demandions ce qu’il ou elle aime faire de son temps ? Ou quel est son parc préféré dans la ville ? Et si, au lieu de nous enquérir des différences, nous essayions d’abord de trouver ce que nous avons en commun ?
Et si l’on mettait en avant les besoins et les talents individuels et que nous arrêtions de catégoriser les gens comme des “aidants” et des “nécessiteux” ?
Nous n’avons pas inventé cette façon de voir les choses. Ce concept est appelé “transculturalisme”. Les personnes qui envisagent le monde d’un point de vue transculturel comprennent la culture, l’identité et l’appartenance comme des processus fluides qui ne peuvent être classés dans des cases.
QUESTIONS À MÉDITER
Slide 1
01.
Quelles questions et quels formats de réunion sont axés sur les préférences individuelles ?
___________
Slide 1 - copy
02.
Quelles questions et quels formats de rencontre mettent l'accent sur les points communs entre deux personnes, quelle que soit leur origine ?
___________
Slide 1 - copy - copy
03.
Un regard sur votre propre travail, un regard sur votre propre communication : Soulignons-nous les similitudes ou les différences ?
Si nous souhaitons rassembler les gens sur un pied d’égalité grâce à notre travail, utiliser le bon langage peut s’avérer très utile. Les astuces les plus importantes ? La prise de conscience, l’empathie et la créativité.
CONSCIENCE
Les mots génèrent des images dans l’esprit d’une personne ; et celles-ci peuvent être aussi bien positives que négatives. Souhaitons-nous évoquer des images à connotation positive ou peut-être même remettre en question des hypothèses existantes ? Nous devons alors être conscient.e.s des mots que nous utilisons et des images que nous créons dans l’esprit de nos auditeurs.
La langue, arme ou outil ?
Attention aux stéréotypes ! Si nous utilisons des termes qui sont déjà fortement chargés en images, par exemple à la suite de reportages dans les médias, le risque de les reproduire augmente. Prenons par exemple le terme “réfugié” : il est fort probable que son utilisation évoque une association avec la souffrance ou la menace d’un préjudice. Était-ce là notre intention ? Si nous utilisions des termes moins chargés tels que “nouveau.x.elle.s arrivant.e.s”, la probabilité d’associations négatives pourrait être réduite.
EMPATHIE
Tout le monde a des préjugés conscients et inconscients. Pour communiquer avec succès, il faut se poser la question : Que voulons-nous atteindre avec notre message ? Quels préjugés nos auditeurs.trices ont-ils.elles déjà et voulons-nous les confirmer ou les remettre en question avec notre langage ? Par conséquent, notre objectif est de faire preuve d’empathie envers les destinataires de nos propres mots.
CREATIVITÉ
Notre langue est très imprégnée de coutumes et de traditions. Si vous trouvez qu’un terme très utilisé a une connotation négative, trouvez-en un nouveau ! Jouer avec les mots ou inventer de nouveaux termes est très amusant. Et, en même temps, cela nous permet de remettre en question les préjugés existants et de créer de nouvelles associations.
Communication interne et externe : La sensibilité linguistique est un allié puissant dans tous les domaines de la vie. Les mots et les termes que nous utilisons dans la communication interne d’un projet influencent notre propre perception (consciente et subconsciente) et la manière dont nous travaillons et interagissons avec les gens. Dans la communication externe, nos termes influencent la perception externe de notre sujet et de notre groupe cible, et sont donc déterminants pour l’impact que nous espérons obtenir avec notre travail.
LA PLACE DE L’ENVIRONNEMENT DANS L’INTÉGRATION ET POURQUOI EST-IL IMPORTANT ?
Il existe au moins deux types d’environnement : L’environnement au sens immédiat (le physique) et au sens figuré (l’environnement que l’on perçoit, c’est-à-dire l’atmosphère). Dans l’intégration, les deux formes d’environnement jouent un rôle important !
Si nous supposons que l’intégration ne peut avoir lieu que par un échange entre des personnes qui se trouvent sur un pied d’égalité, il est essentiel que ces personnes se situent au même niveau non seulement en marière d’atmosphère, mais aussi d’environnement physique.
S’il y a un décalage entre ces deux environnements, il peut en résulter une situation dans laquelle les personnes impliquées ne peuvent ou ne veulent pas se faire confiance, surtout s’il existe une hiérarchie établie, ce qui est malheureusement encore courant dans le domaine de l’intégration : en tant que personne locale, c’est moi qui décide où et comment l’intégration a lieu.
L’ENVIRONNEMENT PHYSIQUE
Est-il confortable ? L’environnement invite-t-il à l’échange et aux discussions animées ? Les gens s’y arrêtent-ils aussi par hasard et décident d’y rester plus longtemps ? L’environnement physique peut être un café, un coin sympa dans un parc, ou même le petit abri d’un club de jardinage.
L’ESPACE PERÇU
Comment suis-je accueilli.e ? Quelle est l’ambiance dans le groupe ? Chacun peut-il s’exprimer et contribuer ? Est-ce qu’on s’écoute les uns les autres ? Est-ce que je me sens en sécurité ici ? L’environnement perçu est tout ce qui se passe “entre les lignes” et est finalement ce qui détermine si je reviens ou non.
À première vue, c’est tout simple : les activités relatives à l’intégration se déroulent principalement dans des « espaces d’intégration » dédiés. Ça semble logique au premier abord, non ? Et pourtant : les cafés d’intégration, les centres d’intégration, les salles d’intégration sont souvent non seulement peu accueillants, mais aussi difficiles d’accès ou dissuasifs, tout simplement parce que seul le travail d’intégration a lieu dans ces salles – l’intégration n’a donc pas lieu dans son « espace cible », la société. Un espace d’intégration en marge de la société – Changeons cela !
Comment pouvez-vous l’améliorer ?
Cette contradiction ne peut être résolue que par l’utilisation d’espaces de rencontre qui sont ancrés dans la société et qui sont également populaires auprès de la population locale. C’est la seule façon de communiquer de manière crédible aux nouveaux arrivants leur égalité dans la société : nous voulons que vous en fassiez partie, et c’est pourquoi vous êtes les bienvenus où que nous soyons (nous ne nous réunissons donc pas dans une salle où je ne vais jamais en temps normal et/ou que je n’aménagerais jamais ainsi pour d’autres occasions).
Nous voulons que vous ayez votre place, et c’est pourquoi vous êtes le.la bienvenu.e où que vous soyez.
Quels sont donc les endroits adaptés?
Exemple: L’intégration dans l’association de jardiniers « Unter der Linde » au lieu du café d’intégration « Multikulti » présente, entre autres, les avantages suivants:
“ENDROITS RÉELS”
Les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s apprennent à connaître un vrai lieu social.
TABLES RONDES
Les habitant.e.s sont déjà là et n’ont pas besoin d’être invité.e.s.
DES ENDROITS
INSPIRANTS
L’endroit a un sujet à aborder et c’est un lieu où les passions personnelles sont développées et vécues.
ICI C’EST
VIVANT !
Le lieu fonctionne et vit même sans référence d’intégration.
QUESTIONS À MÉDITER
Slide 1
01.
Quels sont vos espaces publics préférés ?
___________
Slide 1 - copy
02.
De quoi avez-vous besoin pour vous sentir à l'aise dans un espace ?
___________
Slide 1 - copy - copy
03.
Quels endroits vous intéresseraient si vous deviez commencer quelque chose de nouveau ?
___________
Slide 1 - copy - copy - copy
04.
Où et comment aimez-vous rencontrer d'autres personnes ?
La question de l’intégration a causé bien des frustrations ces dernières années. D’aucuns disent qu’elle a échoué. Mais quelles sont les attentes derrière ce terme ? Et de quelles attentes s’agit-il ? Si nous voulons vivre dans une société qui permet à chacun de participer, cela vaut la peine d’y regarder de plus près: Notre approche du travail d’intégration permet-elle vraiment de créer des points de convergence ou renforce-t-elle plutôt les différences ?
LES NOUVEAU.X.ELLE.S ARRIVANT.E.S DANS LE VOLONTARIAT
Pour que l’intégration soit plus inclusive, les locaux et les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s doivent pouvoir agir au même niveau, soit sur un pied d’égalité. Cependant, si les gens se retrouvent dans des groupes séparés, surtout dans un rapport de force inégal (par exemple, séparés en aidant.e.s et nécessiteu.x.se.s) être sur un pied d’égalité est alors impossible.
Si nous voulons sortir de la dynamique de l’intégration comme une voie à sens unique et la comprendre plutôt comme un processus de vie commune, les locaux ne doivent pas seulement être compris comme des partisans de l’intégration, mais aussi comme un groupe cible et des co-créateurs du processus, tout comme les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s.
Pour atteindre ce groupe cible et établir une relation à long terme, il est utile de mieux connaître ses besoins. Il convient notamment de faire une place à leurs souhaits et à leurs talents. Dans la plupart des cas, cependant, les volontaires locaux ne sont pas perçus comme le principal groupe cible d’un projet.
Les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s ont autant de choses à apporter à la société que les locaux. Nous sommes tous humains. Nous faisons tous également partie de cette société.
L’intégration est bien plus qu’une aide d’urgence. Tant que nous parlerons d'”aider les réfugiés”, nous ne pourrons pas cesser de considérer l’intégration comme une aide d’urgence. Ces personnes restent dans leur rôle de nécessiteu.x.se.s. Se rencontrer sur un pied d’égalité à partir de cette position ? Impossible.
C’est pourquoi nous commençons par la compréhension de l’intégration :
Les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s ne sont pas toujours simplement “dans le besoin”
Toutefois, si ce rôle leur est attribué en permanence, l’autonomisation n’est pas seulement empêchée, elle contribue aussi activement à la “déresponsabilisation”. Il s’agit également d’une forme de privation de droits.
Les bénévoles sont souvent engagés “pour” les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s, mais
Personne ne connaît le public cible comme le public cible lui-même.”
Le bénévolat, par exemple sous la forme d’un engagement dans une association, a une signification socioculturelle particulière dans certaines régions d’Allemagne. C’est aussi pourquoi le fait d’inviter et de permettre aux nouveau.x.elle.s arrivant.e.s de participer contribue grandement à leur accès et à leur participation dans leur nouveau lieu de résidence.
L’engagement a de nombreuses raisons. D’une part, beaucoup pensent qu’offrir son temps et ses compétences à d’autres personnes dans la société fait simplement partie d’une bonne action, mais d’autre part, cela permet aussi de se sentir bien dans sa peau quand on a fait quelque chose de bien. En outre, vous rencontrez généralement de nouvelles personnes ayant des intérêts similaires et souvent des amitiés se développent. Vous apprenez aussi souvent de nouvelles compétences. Le volontariat apporte donc au moins autant d’avantages à ceux qui s’engagent qu’au groupe cible de l’engagement. Il semble souvent évident que, dans le cadre du travail d’intégration, les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s constituent le groupe cible et que les locaux s’engagent à l’égard du groupe cible. Mais ce n’est pas si simple.
Ce n’est pas parce qu’une personne est bénévole et active dans le domaine de l’intégration qu’elle est nécessairement locale. Les locaux comme les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s peuvent participer bénévolement au travail d’intégration,
lorsque, par exemple, ils donnent gratuitement des cours de langue, organisent des soirées de cuisine communes ou des séances d’entraînement sportif. En même temps, les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s autant que les locaux peuvent participer à ces activités et en sont alors les participants.
L’intégration ne peut être réussie que si les locaux et les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s ont la possibilité de participer au processus d’intégration et de contribuer à son élaboration. Pour les habitant.e.s, c’est souvent encore plus difficile car ils ne sont pas toujours conscients de ce qu’ils peuvent faire et du rôle qu’ils jouent réellement dans le processus. Les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s sont inévitablement confrontés à ces questions. Il est donc particulièrement important que les offres soient conçues de manière à aider tant les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s que les locaux à réfléchir à leur propre situation et à apprendre quelque chose de nouveau.
Le moyen le plus simple d’y parvenir est de cibler systématiquement les populations locales. Toutes les offres sont donc conçues pour les nouveau.x.elle.s arrivant.e.s et les locaux. De quoi ont-ils besoin ? Quand l’offre est-elle intéressante pour eux ? Comment peut-on les joindre ? Quel changement voulez-vous que l’offre apporte pour eux ?
De même, il est utile de laisser la notion “d’aider” en dehors du travail d’intégration. Il existe toujours une relation inégale, du moins temporairement, entre ceux qui aident et ceux qui reçoivent de l’aide. Apprendre les uns des autres et les uns avec les autres vous permet de rencontrer les autres au niveau des yeux et de découvrir un terrain d’entente.
A quoi mène cette approche?
Lorsque de nouveau.x.elle.s arrivant.e.s et des habitants de la région participent à une offre, ils jouent le même rôle, apprennent ensemble, contribuent ensemble à quelque chose de nouveau – les points communs deviennent ainsi visibles.
Il en va de même pour l’engagement. Ici aussi, ils se rencontrent comme engagés pour une bonne cause et non dans leur rôle de « nouveau.x.elle.s arrivant.e.s » ou de « locaux ». Il faut un peu d’entraînement pour surmonter cette image de soi. Plus vous vous trouvez souvent dans des situations où des personnes d’origines et d’identités différentes remplissent des rôles similaires, plus cela devient facile.
QUESTIONS À MÉDITER
Slide 1
01.
Pourquoi êtes-vous impliqué ? Que retirez-vous personnellement de votre engagement ? Qu'est-ce que les autres retirent de votre implication ?
___________
Slide 1 - copy
02.
Attendez-vous de la gratitude ou de la reconnaissance pour votre engagement ? Si oui, par qui et pour quoi exactement ? Pourquoi ?
___________
Slide 1 - copy - copy
03.
Cela vous semble-t-il familier ? Vous vouliez aider mais vous avez reçu plus que ce que vous avez donné ?
___________
Slide 1 - copy - copy - copy
04.
Où bénéficiez-vous de l'engagement des autres ?
___________
Slide 1
05.
Où vous sentez-vous représenté*e ?
___________
Slide 1
06.
Quels espaces vous semblent suffisamment "sécures" pour que vous puissiez partager vos réalités et vos expériences de vie?
L’effet est d’abord un terme très général qui décrit le changement qui se produit lorsqu’une activité affecte une situation existante. Dans le travail d’intégration, l’effet est la devise de la réussite de tout projet, car l’objectif est de changer quelque chose dans la société pour le mieux. Le projet n’est réussi que si ce changement, c’est-à-dire l’effet souhaité, se produit.
C’est pourquoi il est essentiel de réfléchir dès le départ au changement que vous souhaitez apporter par votre propre travail.
Dans le travail d’intégration, de nombreux projets visent à contribuer à une société où chacun – indépendamment de son origine ou du lieu d’origine de sa famille – bénéficie de l’égalité des chances et vit bien ensemble.
Il s’agit, bien entendu, d’une tâche vaste et complexe qu’aucun projet ne peut aborder seul. Toutefois, le projet peut viser des objectifs plus modestes en cours de route. En règle générale, cela implique des changements dans la vie de personnes individuelles, dans leur conscience et leur comportement, souvent dans une zone géographiquement bien délimitée. Par exemple, un objectif pourrait être d’aider vos groupes cibles à se sensibiliser à l’intégration et aux comportements inclusifs. Les personnes qui ont modifié leur comportement grâce à votre travail contribuent ensuite à un changement au niveau de la société sur le long terme.
C’est pourquoi nous parlons de deux niveaux d’impact : Impacts au niveau sociétal et impacts au niveau des groupes cibles.
Qu’est-ce que la logique d’impact et pourquoi est-elle bonne ?
Afin de montrer quels sont les objectifs d’impact que votre projet vise aux différents niveaux et ce que vous faites dans le projet pour atteindre ces objectifs, il est utile d’avoir un tableau de bord Logique d’impact. Il s’agit d’une sorte de plan directeur individuel qui montre quels moyens le projet utilisera pour apporter quels changements.
Comment faire ?
Une structure très utilisée pour une logique d’impact est la logique dite IOOI. Le nom est dérivé des initiales des mots anglais “Input, Output, Outcome, Impact”. Sous Logique d’impact, vous pouvez trouver un tutoriel sur la façon de créer une telle logique d’impact.
Idéalement, le processus de création de votre logique d’impact devrait impliquer tous les membres de l’équipe qui travailleront également à sa mise en œuvre. Il est également très utile d’avoir à bord des représentants des groupes cibles – en règle générale des nouveau.x.elle.s arrivant.e.s et des locaux – en tant qu’experts.
On commence par la création de la logique d’impact “par derrière” :
Résultats
Penser et mettre en œuvre son propre projet d’intégration en fonction de l’effet recherché permet d’utiliser et de hiérarchiser plus efficacement les ressources disponibles, souvent rares.
Dans les projets axés sur l’impact à atteindre, l’accent est également mis sur la connaissance précise des besoins des groupes cibles, de sorte que la qualité des offres augmente généralement et que le groupe cible est bien atteint. Cette approche a aussi souvent un effet positif sur la motivation des membres de l’équipe, car ils savent toujours exactement à quels objectifs leur travail contribue. Il en va de même pour les sponsors – ils savent également dans quoi ils investissent leur argent et quels sont les résultats de leurs investissements.
QUESTIONS À MÉDITER
Slide 1
01.
Quel problème social actuel voulons-nous résoudre ?
___________
Slide 1 - copy
02.
À quoi ressemble la société idéale lorsque le problème n'existe plus ? Quand n'a-t-on plus besoin de nous ?
___________
Slide 1 - copy - copy
03.
Qui voulons-nous changer pour atteindre cet objectif global ?
___________
Slide 1 - copy - copy - copy
04.
Avons-nous suffisamment impliqué le public cible pour savoir quelles activités permettront le mieux d'atteindre l'objectif ?
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may have an effect on your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.
Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.
Manage Cookie Consent
We use cookies to optimize our website and our service.
Functional
Immer aktiv
The technical storage or access is strictly necessary for the legitimate purpose of enabling the use of a specific service explicitly requested by the subscriber or user, or for the sole purpose of carrying out the transmission of a communication over an electronic communications network.
Preferences
The technical storage or access is necessary for the legitimate purpose of storing preferences that are not requested by the subscriber or user.
Statistics
The technical storage or access that is used exclusively for statistical purposes.The technical storage or access that is used exclusively for anonymous statistical purposes. Without a subpoena, voluntary compliance on the part of your Internet Service Provider, or additional records from a third party, information stored or retrieved for this purpose alone cannot usually be used to identify you.
Marketing
The technical storage or access is required to create user profiles to send advertising, or to track the user on a website or across several websites for similar marketing purposes.